En réaction à l’article de Stéphane Laporte dans La Presse, 10 décembre dernier…
On parle, dans cet article, du dilemne de choisir entre un sapin vert ou un sapin synthétique pour Noël et du nouveau gendre granola à tuque qui casse les partys.
Ben voilà, ya pas que deux choix, ya pleins d’alternatives au problème du sapin de Noël qui pourrait vous aider à avoir la conscience tranquille.
- Un sapin synthétique d’occasion, c’est donner une seconde vie a un objet qui s’en va au dépotoir.
- Un sapin d’extérieur qui pousse sur notre terrain et que l’on décore pour le temps des fête, c’est déjà mieux que le couper.
- Une plante d’intérieur décorée remplace efficacement les deux types de sapins et ne nécessite pas d’espace de rangement.
- Au chapitre des décorations de Noël, si ça en prend absolument, réutiliser les vieilles décorations, celles laissées par les ancêtres, est un choix judicieux. Ça se trouve dans les boîtes qui traînent au sous-sol, dans les ventes de garage, aux marchés aux puces et dans les encans.
Quand on y pense, cette question n’est qu’un autre enjeu de consommation de la culture nord-américaine.
La véritable chose écologique à faire est de cesser de décorer nos maisons avec des sapins (naturels ou non) pendant le temps des fêtes.
Ca règlerait aussi le cas des décorations qui sont, hélas, un poids inutile sur les ressources de notre petite planète malade.
En ca qui a trait au bétail qui polluent plus qu’un hummer, c’est parce qu’on n’utilise pas toute la production de notre bétail. D’ailleurs, un reportage de la semaine verte, l’an dernier faisait état d’un éleveur porcin du Manitoba qui produisait suffisamment d’énergie à partir de méthane pour alimenter la ville ou il siège. Au fait, ça rappelle Madmax, Beyond the Thunderdome.